Aujourd'hui arrive enfin la jour ou je vais vous parler de NieR automata ! Et contrairement à toute attente, cet article sera probablement assez court. La raison est au final assez simple... Il y a tellement à dire a propos de ce jeux, de cette licence, de cet univers, de ses créateurs, etc... Que je préfère ne perdre personne. A l'inverse, cet article sera plus présent afin de vous présenter le jeu, et surtout comment l'aborder si vous ne l'avez jamais fait.
1. Et si le meilleur moyen de recommandé de NieR Automata était de ne pas trop en parler...
Si on vous a déjà venté les mérites de ce jeu (et peut être que j'ai pu également le faire dans la passé)... Et bien, oubliez tout ça ! Oubliez toute attente que vous pourriez avoir, car le jeu n'est pas prêt de vous les donner, surtout si vous les attendez.
Comme l'a dit un vidéaste que j'apprécie particulière : "NieR automata cache plutôt bien jeu".
2. Les belles mélopées de Keiichi Okabe
Tout d'abord, je voudrais aborder par un aspect qui n'est pas forcément celui par lequel on commence d'habitude quand on parle d'un jeu, mais je souhaiterai vous parler de sa musique. Si vous n’êtes pas sensible aux spoilers musicaux, et malgré l'impact que peut avoir la découverte d'une belle musique à un beau moment d'un jeu, je vous recommenderais de jeter une oreille aux musique de NieR automata. Assez vite, vous devriez réaliser la richesse, la beauté et la force de ces compositions musicales... Et c'est peut etre la chose qui pourrait vous donner le plus facilement envie de laisser une chance au jeu.
3. Mais le jeu, c'est quoi du coup ?
Désormais, présentons un peu le jeu et son context : NieR automata se passe dans une monde post-apocalyptique ou les humains, envahi par une race extra-terrestre ont du fuir la terre et ont survécu sur la Lune. Vous jouez 2B, un android créé par les humains et membre de YoRHa, un programme dédié entièrement à la récupération de la terre. Vous jouerez donc un android, envoyé en mission sur Terre afin de reprendre la planète et d'explorer cette planète, abandonné par les humains il y a déjà bien longtemps.
Le jeu est ce qu'on appelle un beat them up, basiquement un jeu en 3D, ou vous affrontez beaucoup d'ennemi et le jeu vous vous fourni différents enchaînements de coup afin d'affronter vos adversaires. Et comme le jeu est développé par un studio plutôt maître en la matière, les combats sont dynamiques, fluides et de plus en plus rythmés au fur et a mesure ou vous maîtriserez ses composants, vos armes et votre capacité d'esquive. Le jeu ajoute un "pod", un petit objet flottant, vous accompagnant dans votre mission et qui a la capacité de tirer sur vos adversaires afin de vous aider durant vos combats.
Mais ce n'est pas tout, car NieR automata est un jeu qui aime le jeu video, c'est pourquoi, par de simples mouvement de caméra ou certains context scénaristiques, le jeu se permettra de changer de style de jeu, en vous offrant des phases de shoot en 2D par exemple, mais pas que ;)
Le jeu se déroule dans un open world, avec une quête principale, des quetes annexes (certains très chouettes et venant renforcer cet univers) et d'autres plus annecdotiques. Les deplacements sont fluides, tellement même, qu'il est agréable de naviguer dans ce monde, de se deplaceret et de le parcourir... Rendant ses quetes et son explorations loin d'etre désagréable.
4. C'est vrai qu'il y a pleins de fins et qu'il faut refaire le jeu 5 fois ?
Si jamais on vous a parlé d'une histoire comme quoi il faut faire le jeu 5 fois ou je ne sais quoi, oubliez ça. Ce n'est pas le cas. NieR vous fait faire une partie de son jeu avec un point de vue, et vous fait explorer cette partie d'un autre point de vue, avant reprendre là ou il s’était arrêté pour offrir plusieurs conclusions selon un choix final. Rien de particulier ou foireux en somme. L'affirmation erroné des "run" multiples vient simplement du fait que ces parties sont séparés par des génériques de fin... De toute façon, ne vous en faites pas, avancez dans la quêtes principale, et après ces fameux génériques, le jeu vous préviendra que c'est pas fini et que l'aventure continue, donc vraiment, ne vous en faites pas pour ça.
5. C'est la suite de NieR, nan ?
Et oui, NieR automata est une suite d'un autre jeu, mais vous n'avez pas à faire cet autre jeu pour comprendre et apprécier automata. Certes, certaines références ne vous feront pas écho, mais ce n'est pas gênant. Et comme cet autre jeu est bourré de défauts (bien plus qu'automata), je préfère vous conseiller de démarrer par automata. Et si jamais vous avez appréciez automata, alors vous pourrez laisser une chance à son prédécesseur.
6. Finalement, ce qu'il faut retenir...
De manière générale, oubliez globalement ce qu'on a pu vous dire sur le jeu, prenez le tel quel, plonger dans son univers et savourez le. N'essayez pas de le "rusher" ou d'attendre une claque videoludique des ces premières heures, ce n'est pas comme ça que le jeu s'appréhende. Tout ce que je peux vous dire, c'est que si le début ne vous parait pas toujours stimulant ou un peu cryptique, essayez de persévérer un peu, croyez moi, ça en vaut le coup ;).
NieR automata est un jeu porté d'amour, de cœur, de philosophie et de questionnements sur son média, surtout sur l'humanité et les émotions. Mais il faut lui laisser le temps et l'attention qu'il demande pour y accéder. Alors, laissez lui sa chance, vous pourriez bien en ressortir changer... Marquer par un titre n'a l'air de rien.
Glory to mankind.
* Merci, une fois encore, aux mystérieux relecteurs, qui se reconnaîtront, pour leurs regards extérieurs et leurs corrections pertinentes.
Par Atreide
Critique pas tenté à la culture peu développée, ce canard ouvre pourtant souvent son bec pour venir kwaker ce qu’il a sur le kwak. Comme son avatar le laisse supposer, il se plaît souvent à surprendre, contredire les gens, et sa fourberie n’a d’égal que sa capacité à râler. Non content de kwaker ses amis Cayuguien toute la journée, il s’est dit qu’internet se devait de lire ses coups de kwak. De manière générale, cet oiseau becté se plaît à avoir un avis différent de la majorité… Bien qu’il ne soit pas si différent des autres canards qui peuplent cet étang. Mais soyez assuré qu’il essayera toujours de mesurer ses battements d’ailes, bien qu’il ne puisse s'empêcher de les agiter, tant la kwak culture le passionne. Ce qui le conduira inexorablement à digresser sans cesse, quitte à en perdre ses plumes et son auditoire. Mais si, toutefois, vous êtes prêt à rester malgré ses digressions, le canard Muad’vi se fera un plaisir de kwaker avec vous, tant qu’il ne se sentira pas kwaker.
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